Voici les missions des Antennes Médicales de Prévention du Dopage (AMPD) en à la loi de 1999 :
La création de structures de soin et de prise en charge des sportifs ayant eu recours aux pratiques dopantes ou susceptibles d'y recourir est une des innovations les plus remarquables de la loi du 23 mars 1999 et plus récemment de celle du 5 avril 2006.
Les AMPD sont implantées (certaines depuis 2001) dans les établissements publics de santé ; il y en a au moins une par région. Elles ont au préalable reçu l'agrément du Ministère chargés des Sports.
Ces antennes doivent dans un premier temps garantir une consultation médicale, anonyme et gratuite aux sportifs ; elles peuvent ensuite leur proposer, si cela s'avère nécessaire, une prise en charge médicale ou psychologique.
Leur création et leur fonctionnement s'inscrivent également dans une perspective de pharmacovigilance et de pharmacodépendance : il s'agit d'en faire des lieux à même de pouvoir suivre au plus près le mésusage ou l'abus de produits par des sportifs.
Les missions des Antennes Médicales de Prévention du Dopage (AMPD), en application de l'article D232-1 du code du sport sont :
La prévention du dopage et des conduites dopantes
Le soin
L'expertise et le conseil
Le recueil de données épidémiologiques et la veille sanitaire
La recherche
L'AMCD des Pays de la Loire et son équipe nantaise propose des formations autour des outils et méthodes d'intervention auprès de publics variés. Nous sommes actuellement en train de valider notre dernière mallette pédagogique qui devrait devenir "opérationnelle" fin 2020. Cet outil pourra être proposé dans le cadre d'un "pack" associant une formation et la mallette "DOP'Santé". Cet outil est issu de l'expérience et des projets menés pas l'AMCD depuis 2004.
N'hésitez-pas à nous contacter si vous êtes intéressé par la démarche : amcdpdl@gmail.com
La consommation de boissons énergisantes chez le sportif
Red Bull et boissons énergisantes...La sfns prend position
L'autorisation de commercialisation à partir du 15 juillet 2008 sur le marché français de boissons énergisantes, fait craindre des abus de consommation chez les sportifs, en raison des allégations portant sur l'amélioration des performances et des besoins de réhydratation en particulier en climat chaud.
Depuis mai 2008, les versions « sans Taurine » de ces boissons font déjà l'objet d'une forte consommation.
L'éventuelle présence ou absence de toxicité de ces boissons lors des différents types d'effort sportif nécessite d'être documentée, pour proposer une information éclairée des consommateurs.
les boissons énergisantes ne présentent pas, en l'état actuel des connaissances, d'intérêt nutritionnel démontré chez le sportif.
Elles ne répondent pas aux critères spécifiques des boissons énergétiques définis au plan réglementaire. Ces boissons sont inadaptées et déconseillées pour la réhydratation en période d'efforts physiques, et ne doivent donc pas être consommées avant, pendant, ni après l'effort sportif.
Le risque de déshydratation accentuée, consécutif à l'hyper osmolarité et à la présence de certaines molécule, peut augmenter le risque de blessures sportives. La fuite minérale potentiellement augmentée des calcium, magnésium, et potassium, représente un facteur de risque de trouble du rythme cardiaque.
De même, la présence de caféine augmente le risque de tachycardie, de troubles du rythme cardiaque à l'effort.
L'apport glucidique est inadapté à l'effort.
La concentration en sucres est trop élevée et fait courir le risque de troubles digestifs.
L'acidité de ces boissons du fait du pH nettement acide représente un facteur prédisposant aux blessures sportives.
La caféine ou Méthylxanthine est un alcaloide naturellement présent dans les feuilles, les fruits ou les grains d'un certain nombre de plantes dont le café, le thé, le cacao, la noix de kola, le guarana et le maté. Elle est aussi synthétisée et incorporée dans des produits pharmaceutiques et dans certaines boissons gazeuses. Les boissons énergisantes en contiennent une teneur élevée : 80 mg par cannette de 250 ml, soit 320 mg/litre ; (pour comparaison, un expresso ou un café filtre en contient 90mg).
Une fois ingérée, la caféine est rapidement et totalement absorbée au niveau intestinal. Elle est ensuite dégradée par le foie et principalement excrétée dans les urines.
L'usage de la caféine est répandu dans le milieu sportif pour ses effets potentiellement ergogènes, justifiant son inscription pendant quelques temps dans la liste des substances interdites dopantes, et reste sous surveillance. Lors d'un exercice de type aérobie, elle permet de retarder le seuil d'épuisement (Hoffman JR et al.,2007), augmente la concentration plasmatique en glycérol chez des sujets entraînés (Pasman WJ, 1995) ; l'augmentation de la concentration en acides gras libres a été démontrée mais n'est pas toujours observée (Graham TE et al., 1991). L'hypothèse selon laquelle la caféine aurait un effet activateur de la lipolyse et un rôle dans l'épargne du glycogène musculaire semble remise en question par certains auteurs.
L'administration d'une dose élevée de caféine (9 mg/kg) à des sujets entraînés ne modifie pas significativement le quotien respiratoire (Graham TE et al.,1991) et n'a qu'une faible incidence sur la réduction pondérale (Ahrens JN, et al.,2007). De même, l'administration de doses répétées de caféine (201 mg/j pendant 8 semaines) chez de jeunes adultes soumis à un exercice physique régulier de type aérobie n'a pas d'effet sur la réduction du poids ni l'amélioration de la composition corporelle (Malek MH et al., 2006).
Les effets indésirables liés à une consommation excessive de caféine se manifestent par des effets neuro-comportementaux : céphalées, insomnies, nervosité, irritabilité, anxiété, tremblements (Guelfi JD. et al. 2000). La consommation régulière de caféine peut entrainer une accoutumance voire une véritable dépendance. L'arrêt brutal de la consommation de caféine entraîne des céphalées, une asthénie, une irritabilité, de l'agressivité voire des idées dépressives (Paluska SA, 2003). Au niveau cardiovasculaire, elle peut provoquer une tachycardie, des palpitations, une arythmie, de l'hypertension.
Elle peut également occasionner des myalgies. Une concentration de lymphocytes plus élevée (+35%) a été constatée chez des footballers de haut niveau lorsque la caféine était associée à l'exercice d'où un risque accru de lésions musculaires (Bassini A. Cameron et al. 2007). Sur le plan digestif, la caféine stimule les sécrétions gastriques et la motricité intestinale. L'augmentation de l'excrétion urinaire de calcium, magnesium, sodium et chlore favorise les effets contracturants chez le sportif (AFSSA Saisine n°200 2-SA-0260). Un cas d'intoxication a même été reporté dans la littérature (Fitzsimmons CR et al. 1998). Par transposition de la DL50 chez le rat, l'ingestion de 10g serait mortelle pour 50% des hommes adultes, ce qui représente 120 cannettes (30 litres), quantité certes difficile à atteindre même pour un sportif avec forte réhydratation.
Les effets secondaires observés au niveau du système cardiovasculaire s'opposent à l'adaptation à l'effort et peuvent occasionner des troubles du rythme cardiaque, voire une mort subite. La consommation de caféine peut aggraver les troubles gastro-intestinaux fréquemment observés chez le sportif du fait de l'ischémie du tube digestif et/ou induits par le stress de la compétition.
La part de la caféine dans les déséquilibres électrolytiques est controversée. L'effet diurétique au repos est contrecarré à l'effort par la réduction du débit urinaire. Toutefois, l'état de déshydratation chronique fréquemment observé chez les sportifs du fait de la difficulté à compenser les pertes sudorales à l'exercice (majorées dans certaines conditions climatiques, d'intensité et de durée) ou du fait de la restriction hydrique encore pratiquée dans certaines disciplines augmente la concentration plasmatique et potentialise donc les effets.
La Taurine est un acide aminé non essentiel, appartenant au groupe des 4 acides aminés soufrés. Elle est naturellement présente dans l'alimentation d'origine animale (viande, produits de la mer, oeufs, lait). Il existe également une synthèse endogène par le foie, à partir de la Cystéine.
Au niveau du foie, la Taurine se lie avec deux dérivé du Cholestérol pour former l'acide Taurocholique et Taurochénolique. Ces deux dérivés seront éliminés dans les sels biliaires, et participent à l'émulsion des lipides ingérés. La Taurine présente un rôle dans la régulation de l'osmolarité cellulaire, qui conditionne les échanges trans-membranaires, entre le cytosol et le milieu extérieur, en particulier pour les cellules nerveuses. La Taurine possède également un rôle important de protection cellulaire, par ses propriétés antioxydantes vis-à-vis des radicaux libres de l'oxygène, et de leurs effets sur l'organisme.
Les boissons énergisantes contiennent des doses élevées de Taurine, de l'ordre de 1000 mg par canette de 250 ml, soit l'équivalent d'environ 8 jours de consommation alimentaire. L'absorption active et passive suggère une absorption importante en cas d'apport supra nutritionnel. En conséquence, la synthèse endogène devrait faire l'objet d'une réduction de production en cas d'absorption intestinale élevée. L'avis de la CEDAP du 12/05/1993 rapporte que des apports importants chez l'adulte en bonne santé sont rapidement éliminés dans les urines, sans bénéfice pour la santé ni sur les performances, après avoir cependant séjourné dans l'organisme. Le seuil maximal d'absorption, comme le degré de toxicité n'ont jamais été clairement identifiés. Il n'est donc pas possible de déterminer le taux d'absorption, ni la toxicité réelle en cas d'ingestion d'une dose importante de 1g.
L'innocuité et l'intérêt nutritionnel de la Taurine à des doses supra nutritionnelles ne sont pas démontrés et nécessitent des études complémentaires (Afssa - Saisine n°2000-SA-0246). Un 2ème avis de l'AFSSA (Saisine n°2006-SA-0236) évoque des effets thyroidiens et neurotoxiques qu'il conviendrait d'étudier.
Les propriétés anti-oxydantes de la Taurine peuvent se concevoir en prévention des lésions musculaires lors des activités intenses, mais aucune étude ne semble avoir démontré que cette propriété est proportionnelle à la dose ingérée, et qu'elles se manifestent bien à l'exercice. Les effets de la Taurine sur les performances sportives restent contradictoires. Une première étude (Zhang et al. 2004) évoque une réduction du stress oxydatif post exercice après supplémentation de 3g de Taurine par jour pendant 7 jours. A l'inverse, une 2ème étude plus récente n'attribue aucun pouvoir anti-oxydant particulier lors d'une supplémentation à la même posologie lors d'efforts en résistance chez des sportifs (Zembronlacny et al. 2007). Aucune amélioration des défenses anti-oxydantes chez le sportif ne peut donc être retenue.
Les effets alloués de "brûleur de graisse", d'action facilitatrice sur la mobilisation des acides gras, d'accélérateur de la lipolyse, ne semblent reposer sur aucune justification scientifique actuellement validée. Elle concernerait plutôt la caféine.
Synthèse : il n'existe actuellement aucune preuve scientifique de son innocuité à long terme sur la santé chez l'homme, ce qui justifie une consommation avec prudence.
Il résulte d'une fabrication endogène. L'apport alimentaire serait de l'ordre de 1 à 2 mg/jour.
Les boissons énergisantes contiennent du Glucuronolactone en relative forte concentration, à la hauteur de 600 mg par canette de 250 ml, soit l'équivalent de 600 fois la consommation journalière habituelle. Aucune étude ne permet de renseigner sur le seuil maximal d'absorption digestive lors d'un apport aussi conséquent. Le seuil de toxicité est actuellement inconnu.
Aucun effet sur les performances sportives n'a été mis en évidence. Les allégations évoquant une amélioration de la concentration, de la mémoire ou une stimulation des facultés intellectuelles semble relever plus des hypothèses que de la démonstration scientifique. Par conséquent, cette molécule ne semble présenter dans l'état des connaissances actuelles, aucun intérêt particulier chez le sportif dans les disciplines à forte concentration psychique, ni pour améliorer sa tolérance au stress compétitif. Des études devraient être envisagées pour argumenter ces hypothèses. Les effets secondaires rénaux ont été évoqués. Ils pourraient se potentialiser à l'effort.
Les boissons énergisantes présentent des taux assez élevés de glucides, comparables à ceux des autres boissons sucrées de l'ordre de 112g/litre, soit 28g dans une canette de 250 ml (10.7g/100ml de sucre, sur un total de 11.2g/100ml). Cette concentration est nettement supérieure aux recommandations des boissons de l'effort : les boissons énergétiques pour sportifs devraient contenir 50 à 80g/litre pour être isotonique. Des dosages plus élevés sont justifiés pour des exercices intenses en ambiance froide mais l'attention des sportifs est attirée sur les risques de troubles digestifs et l'intérêt d'avoir recours à des sucres tels que les maltodextrines ou polymères de glucose.
Consommé avant un effort, cet apport glucidique simple élevé peut induire une hypoglycémie réactionnelle en début d'exercice, source de trouble de la vigilance ou d'une contre performance.
La proportion entre les 2 glucides (Saccharose et Glucose) n'est pas précisée. Aucune étude n'est actuellement en notre possession pour écarter le risque d'effets secondaires, représentés essentiellement par une intolérance digestive, problème d'assimilation des sucres à l'effort, hypoglycémie réactionnelle. Par ailleurs, la forte teneur en saccharose peut faire l'objet d'une sensation gustative désagréable à l'effort chez le sportif déshydraté (bouche "pâteuse").
Les boissons énergisantes contiennent des quantités importantes de vitamines B2, B3, B5, B6 et B12. D'une façon générale, les sources de vitamines du groupe B précitées dans l'alimentation courante sont multiples : d'une part, les sources alimentaires sont dominées par les aliments d'origine animale (viandes, oeufs), et de façon moins importante les céréales, certains légumes et les fromages à moisissures. D'autre part, certaines vitamines font l'objet d'une synthèse endogène par l'organisme, telle que la vitamine B3 à partir du Tryptophane (il n'y a donc pas de besoin absolu en Vit B3).
La vitamine B2 est très peu toxique, car l'excès semble s'éliminer. Le surdosage en vitamine B5 n'a fait l'objet d'aucune étude. La vitamine B6 fait l'objet d'une limite de sécurité à 5 mg/jour, émise par le Conseil supérieur d'hygiène publique français en 2005. Des signes fonctionnels de neuropathies sont évoqués à partir de 50 mg/jour.
Synthèse : pour chacune des vitamines étudiées, les besoins physiologiques restent couverts dans le cadre d'une alimentation équilibrée et diversifiée, même chez le sportif ayant une dépense énergétique élevée. Les quantités importantes de vitamines du groupe B, contenues dans les boissons énergisantes ne semblent donc pas présenter un intérêt nutritionnel particulier . La limite de toxicité est proche voire dépassée à partir de 2 canettes consommées.
Les constituants suivants sont rencontrés dans les boissons énergisantes. Leur présence varie en fonction des produits sur le marché.
La loi du 5 avril 2006 relative à la lutte contre le dopage et à la protection de la santé des sportifs attribue au ministère chargé des sports un rôle central dans l'engagement et la coordination de la prévention, de l'éducation et de la recherche en matière de dopage.
Dans ce cadre, un groupe de travail national réunissant des représentants des principales structures impliquées dans ce domaine ou ayant une expérience en matière de prévention a été mis en place en décembre 2006. Parmi ce collectif, l'Antenne Médicale de prévention et de prise en charge des Conduites Dopantes des Pays de la Loire a représenté l'ensemble des Antennes régionales.
Les objectifs de ce travail partagé en matière de prévention des conduites dopantes sont :
Article complet à retrouver sur santesport.gouv
Face à vos interrogations sur votre pratique sportive, le dopage et les conduites dopantes, ou tout autre question relative au sport en général et à son environnement...Posez votre question
Document | Date | Détails | Type |
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Rapport d'Inspection Générale des AMPD | 05/09/16 |
Consultez le rapport de l'inspection générale des services de la jeunesse et des sports concernant les AMPD |
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Plan national de prévention du dopage et des conduites dopantes (2015-2017) | 11/07/16 |
Le Ministère des Sports lance un nouveau plan national de prévention du dopage et des conduites dopantes (2015-2017)... |
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Brochure "Sport-Santé" (IRBMS) | 11/07/16 |
Brochure d'information sur le DOPAGE réalisée par l'AMPD de Lille (IRBMS) |
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Se doper ou Pas : travail de synthèse sur les conduites dopantes - Par Dominique BODIN | 19/08/15 | télécharger | |
Fichier coordonnées des AMPD | 08/07/15 | télécharger | |
Synthèse des résultats de l'étude | 22/04/15 | télécharger | |
Etude sur les représentations concernant le dopage et sa prévention chez les sportifs | 21/04/15 | télécharger | |
Plaquette AMCD - Sport Protect | 01/04/15 | télécharger | |
Article magazine ANPAA | 20/12/12 |
Dossier sport et dopage |
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Livret Prev'dop | 15/10/18 | Réseau de prévention dopage et conduites dopantes sur le Rhône Alpes. | télécharger |
Addiction au sport et blessures | 27/02/12 |
Etude réalisée au Centre national d'entraînement commando |
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Les sportifs se dopent toujours plus à la nicotine | 17/02/12 |
Nouvelle étude du Laboratoire suisse d'analyse du dopage |
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DU Dopage: de l'analyse à la prévention | 22/09/11 |
Programme, année 2011/2012 |
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DU Dopage: de l'analyse à la prévention | 22/09/11 |
maquette du DU |
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Lettre N°2 du Pôle ressources national sport et santé | 30/08/11 |
La prévention du dopage: une volonté politique forte du ministère des Sports |
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Répression vs prévention | 22/08/11 |
Article de l'AMPD du Languedoc-Roussillon |
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Formation en Rhône-Alpes 2011 | 13/01/11 |
Concevoir et animer des actions collectives de prévention du dopage et des conduites dopantes. |
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Formation en Rhône-Alpes | 08/04/10 |
Prévention du dopage et des conduites dopantes |
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Exposition réalisée par la DDJS et le CRES de haute-Normandie | 29/01/10 |
exposition: dopage & sport, santé & société |
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8. Suivi prospectif des effets indésirables liés à la consommation de boissons énergisantes | 06/07/09 | Ministère de la Santé - Rapport après 5 mois de commercialisation. A la demande du Ministre de la santé, l'INVS, en collaboration avec l'AFSSA, a mis en place une surveillance active, via via les centres antipoison et de toxicovigilance (CAPTV), des signalements des effets indésirables liés à la consommation de boissons énergisantes et, en particulier, de la boisson Red Bull | télécharger |
7. Prévention des conduites addictives - Guide pour comprendre et agir ensemble | 20/04/09 | Guide réalisé par une quinzaine d'experts sénégalais et français, représentant des services publics, associations et institutions concernés par la question des usages de substances psychoactives. Chapitre sur le dopage et les conduites dopantes en page 71 | télécharger |
6. Glossaire de la promotion de la Santé | 13/10/08 | Organisation Mondiale de la Santé | télécharger |
5. Glossaire utilitaire en Education pour la Santé | 13/10/08 | Des fondamentaux en Education pour la Santé - Des termes couramment utilisés en Education pour la Santé | télécharger |
4. "Prévention Alcool - Les jeunes sur le pont" | 13/10/08 | Aujourd'hui, pour beaucoup de jeunes, pas de fête sans défonce à l'alcool | télécharger |
3. Bruxelles Santé | 07/10/08 | "Peur et prévention" | télécharger |
2. La veille prévention | 07/10/08 | "La peur est-elle efficace pour lutter contre les problèmes de santé publique?" | télécharger |
1. Société Française de Nutrition du Sport | 07/10/08 | Recommandations sur la consommation de boissons énergisantes chez le sportif | télécharger |
Théma Dopage et conduites dopantes | 02/10/08 | Théma : "Dopage" et "conduites dopantes" | télécharger |
Campagne choc antidopage | 28/08/08 | Le dopage vous marque à vie | télécharger |